Sur les influences présumées du champ des conjonctions inférieures de Vénus
cipite sur ces grands nuages, propage l'impulsion de ses masses remplaçantes
jusqu'à la surface du globe, et on a dans cette circonstance un dégroupement
sans averses notables, mais seulement accompagné de bourrasques ou coups de vent
considérables. Tels sont les ouragans, et tous les faux orages qui ne donnent ni
éclairs, ni tonnerre, ni pluies abondantes.
Au reste, il n'est ici question que de simples dégroupemens qui s'opèrent avec
rapidité, et à l'égard desquels il ne paraît pas que la matière électrique joue
un grand rôle. Une autre fois, j'essayerai de traiter des circonstances et des
faits relatifs aux orages, et je tâcherai de faire voir combien la théorie des
dégroupemens est dans ce cas nécessaire pour l'explication des phénomènes qui
les concernent.
Sur les influences présumées du champ des conjonctions inférieures de Vénus.
Quelques personnes pensent que les planètes se joignent à la lune et au soleil
pour exercer des influences sur l'atmosphère de la terre ; d'autres croyent
qu'après la lune et le soleil, il n'y a que Vénus et Jupiter qui puissent avoir
sur l'atmosphère quelqu'influence effective ; enfin d'autres réduisent les
influences en question à celles de la lune et du soleil. J'ai partagé jusqu'à
présent l'opinion de ces derniers, quoique je sache qu'en toute ri- [rigueur]
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